Bentō riz aux épices, jambon et salade

Hop hop hop on se reprend, et un bentō, un ! Très simple : du riz aux épices (curcuma, poivre, cannelle, laurier), sur un lit de jambon blanc et de fruité des Bauges (j’adore mettre le fromage à fondre sous le riz), et une salade verte avec raisins secs et petite sauce au wasabi (pas extra, d’ailleurs, un goût poudreux, dû à la vieillesse et la qualité relative dudit wasabi). Bentō riz épices et salade

Bento butternut et jambon

Bento butternut, jambon, et framboises

Un ptit bento tout simple : à gauche, Régal de Bourgogne (un fromage de vache crémeux et goûtu) et cru de Savoie, et framboises ; à droite, butternut rôtie et jambon blanc sur lit de couscous. Date : début janvier. Oué, je suis à la bourre.

Pizza au potimarron

Ça faisait un bout de temps que j’avais pas posté que j’avais pas fait de pizza, et bin, ça me manquait un peu. Dans le panier de légumes de cette semaine (oué, on achète des paniers surprises en ce moment avec l’Amoureux) il y avait un potimarron <3 . Ce truc est juste une monstruosité de miam, ce goût approchant la châtaigne, cette texture fondante, rhaaah. Hum. Et l’idée saugrenue me vint : et si je mêlais mes deux envies ? Je suis passée par la boucherie (j’aime manger sans viande, mais là, juste pâte et potimarron, je ne le sentais pas), hop, des tranches de jambon (et du pâté en croûte aussi, j’aime bien et la bouchère me donne le talon une fois sur deux), et tout était prêt pour la bataille.

Ingrédients

  • 1 potimarron
  • 2 tranches de jambon
  • crème fraîche
  • gruyère de Savoie Pour la pâte

  • 225g de farine T55

  • 125g d’eau à température ambiante
  • 2 cuillères à soupe d’huile d’olive
  • 2/3 d’un sachet de levure de boulanger déshydratée
  • 1 cuillère à café de sel

Modus operandi

Laver le potimarron, ne pas le peler, le couper en gros morceaux, en extrayant les graines, et faire cuire. À l’eau, ça prend 10 minutes (et on peut se servir de l’eau résultante pour cuire pâtes ou riz, ou faire une base de soupe), à la vapeur, 20.

Pendant la cuisson, préparer la pâte : tout mélanger, et pétrir. Mais pas trente secondes, hein, dix minutes au moins (faut souffrir pour faire de la pizza). La pâte devient tendre, elle ne colle plus aux mains, elle est souple, ne se déchire pas. Le mieux, c’est de pétrir en l’air, je trouve ça moins fatigant, parce qu’on a une liberté de mouvement. Ensuite, laisser reposer dans une jatte ou un saladier légèrement huilé recouvert d’un torchon pendant au moins une heure à température ambiante.

Couper les morceaux de potimarron en tranches fines. Attention, la peau a tendance à se décoller, couper délicatement.

Quand la pâte est levée, l’étaler sur une plaque ou dans un plat. Déposer un peu de crème, des tranches fines de gruyère, le jambon pas coupé, à plat, et puis disposer le potimarron dessus. Faire cuire 15 à 20 minutes à four chaud (210°C).

Note : j’ai changé le nom du blog, ayé, j’ai trouvé un truc qui me plaît plus ! Ça vous va ?

Tarte carotte, jambon, fromage et romarin

J’ai découvert le blog du Diplodocus il y a quelque temps, et y ai déniché une recette de quiche carotte/thon/feta absolument renversante. Et sa simplicité apparente emmène très vite vers des expérimentations !

J’avais envie de romarin. C’est une herbe dont l’odeur me plaît beaucoup mais je n’ai pas tellement l’occasion de l’utiliser. J’ai voulu moudre les feuilles séchées que j’avais, dans mon nanomixer (celui où il faut appuyer sur le moteur/couvercle pour le faire fonctionner, c’est chouette ce genre de machin), mais c’était trop petit, trop fin, et les lames n’arrivaient pas à grand chose. J’ai donc grossièrement coupé un oignon nouveau que j’ai ajouté dans le mixer, me disant que les morceaux humides entraîneraient le romarin dans leur course. Ça n’a pas été aussi efficace que je le pensais, mais j’ai obtenu une jolie pâte d’oignon au romarin. Et là, le drame. À la base, je voulais parfumer la pâte à tarte avec le romarin. Comment intégrer ça, maintenant ? Je me suis alors souvenue d’un article de Cuisine métisse sur des petites crêpes chinoises aux oignons, faites de pâte fourrée et rabaissée. Hop, essayons ! Relativement simple à faire :

  1. on étale
  2. on dépose le mélange
  3. on replie, et on étale de nouveau Ensuite, on laisse cuire à blanc, et on remplit de ce qu’on veut ! Ici, carottes en rondelles, cuites à la vapeur avant, un peu de jambon, et des restes de tous les fromages que j’aie pu trouver.

Et tadam !

Ingrédients

  • 100g de farine de froment
  • 100g de farine de sarrasin
  • 5 cs d’huile d’olive
  • sel
  • de l’eau (à peu près un verre)
  • deux grosses pincées de romarin
  • 1 oignon nouveau (blanc et vert)
  • 5 carottes
  • 1 tranche de jambon
  • fromages : 1 quart de chèvre frais, un rogaton de grana padano, un de Dent du Chat, et un peu d’emmental en plastique pour le volume
  • 2 œufs
  • 20 cL de crème fraîche

Modus operandi

Éplucher les carottes, les couper en rondelles et les mettre à cuire à la vapeur. Préchauffer le four à 180°C. Mêler farine, huile, sel et eau pour en faire une pâte, et l’étaler. Mixer oignon et romarin, et déposer le mélange sur une moitié de la pâte. Replier la pâte et étaler finement. Déposer dans un moule – à noter que c’est assez fragile, j’ai fait toute la manipulation sur la feuille de cuisson – et laisser cuire à blanc pendant 10 minutes. Hacher le jambon et couper les fromages en petits morceaux. Battre les œufs et ajouter la crème. Sortir le fond de pâte du four, et verser dedans les carottes, puis répartir jambon et fromages. Verser l’appareil (chez moi on dit migaine :3) par dessus, et enfourner 40 minutes.

Linguine aux blettes, poivre long, jambon et amandes grillées

La date limite du concours approchant, il fallait que je trouve une recette sympathique de pâtes italiennes, bon sang !

(ok, je viens de vérifier, la date limite c’était hier soir 23h59… bravo, hein)

(mais Edda est super gentille et a accepté ma participation quand même :3 )

J’adore les blettes. Ce côté acide de prime abord, qui devient sucré après cuisson, très doux, révélé par une épice ou bien simplement du beurre salé (vous ai-je déjà parlé de mon ragoût de riz et blettes ?)… Miom. Donc, voilà des linguine aux blettes au poivre long, jambon et amandes.

Ingrédients

  • 30g d’amandes
  • 100g de jambon (deux petites tranches)
  • le vert de 2 feuilles de blette
  • 200 à 250g de linguine
  • crème
  • sel
  • poivre long

Modus operandi

Écraser grossièrement les amandes, et les torréfier dans une poêle sèche. Réserver. Dans la même poêle – optimisation, yay ! – toujours sèche, faire griller le jambon coupé en petits carrés. Réserver derechef. Hacher le vert des blettes, déposer un peu d’huile d’olive dans la poêle – et de trois ! – et faire suer les légumes, puis baisser le feu, ajouter un peu d’eau, jusqu’à ce que le bruit s’estompe, et laisser cuire les blettes, doucement, gentiment. Vers la fin de la cuisson, ajouter une quantité décente de crème fraîche, mettons une cuillerée à soupe, et un chaton de poivre long écrasé finement. Ajouter le jambon, mélanger et garder au chaud.

Préparer les pâtes (vous savez faire, hein, je ne vous fais pas l’affront de vous expliquer), les égoutter. Les disposer dans une assiette creuse, déposer dessus le mélange de blettes et de jambon, recouvrir des amandes du geste auguste de la semeuse, et servir.

Œufs cocotte

Achat compulsif déjà lointain et jamais étrenné, ces mini-cocottes. Alors qu’il est si simple de faire de bons plats dedans…

Ingrédients

pour 2 personnes affamées (et dont c’est le plat unique)

  • 4 oeufs
  • une tomate
  • deux tranches de jambon
  • de la crème
  • du bon fromage (genre comté, on ne se refuse rien)

Modus opérandi

Préchauffer le four, sur 200°C. Couper tomates et jambon en petits morceaux, et les répartir dans 4 cocottes, ou 4 ramequins. Verser un peu de crème fraîche, saler, poivrer, épicer. Casser un oeuf dans chaque récipient, enfourner. Attendre patiemment (non, en fait j’ai oublié le temps, mais c’est un peu long, et facile à déterminer : quand l’oeuf est cuit, c’est prêt). Manger chaud.

J’avais dit plus de rattrapage de bentos

Mais en fait je suis une immonde procrastinatrice (vachte d’occupée par son boulot, aussi, hein), donc je mange, je bentote, je photographie. Et je ne poste pas. Bouh. Pas bien.

Couscous, carottes et meule de Savoie ; cake à la banane, poivron vert cru et une petite boîte de Savora.
Bento de riz (presque le même que dans l’article précédent), avec poivron, carottes et piment, et saucisson au fromage de chèvre ; ananas, petites billes de chocolat, nougat :3, raisin et un cake à la banane.
Roulés jambon/vachekiri/emmental, concombre, petits pois au wasabi, petits beurre et chocolat ; brocolis et riz aux légumes.

Bento magique pour une avant-première

Samedi se tenait l’avant-première (tournoi avec des cartes toutes fraîches et pas encore dispo à la vente) de la dernière extension de Magic: the Gathering, Magic 2012 (ou M12). Comme c’était aussi les soldes, l’Amoureux et moi avions prévu d’acheter plein de trucs le matin (pantalons, combiné téléphonique, disque dur)(heum), et puis participer à l’AP l’après-midi. Et pour l’entredeux, nous nous étions préparé des bentos :3

A gauche, du riz, avec de l'oignon nouveau. A droite, de haut en bas : une demi-tranche d'ananas séché, trois dragées de compétition, de la mozza de compétition aussi et un peu de cantal, un oeuf dur, des roulés de jambon au guacamole, et sur la gauche toute une rangée de mini-tomates. Dessous, Nicol Bolas, dragon, arpenteur, pas spécialement content d'être dessous.

Le retour du gratin de folie (épisode nostalgie)

Je fouinais paisiblement dans mon appareil photo quand plusieurs d’entre elles m’aperçurent, se jetèrent à mes pieds en pleurant « Tu m’as pas mis, dis ! Tu m’as pas publiée ! Moi j’étais un chouette bento ! Et moi, moi, moi tu as parlé de moi mais on m’a jamais vu ! Et moi, et-« . J’ai refermé vite fait l’appareil. Et repris mon souffle.

Diantre. De « vieilles » images, illustrant un passé déjà loin derrière nous. Le fonctionnement en timeline du blog est terrible : on peut éventuellement éditer de vieux articles (hint, hint), mais il faut une raison valable pour poster des photos oubliées.

Je crois que le fait de retrouver des photos du gratin de foliiiiie en est une.

« Viens plus près. »

« Plus près. »

« Bien. Très bien. Très- hé, veux-tu lâcher cette fourchette. « 

Oui, le gratin de folie parle. Et fort bien. Il était fort bon. Courge, pommes de terre, fanes de radis, jambon et fromage. Yihaa.

La prochaine fois, je mettrais divers bentos qui furent dévorés sans laisser de trace. Littéralement.

Tourte PPCC

Sous cet acronyme disgracieux à dire vrai se cache une tourte qui a été fortement appréciée par ma famille la veille du 24 décembre (oui, je mets du temps à poster), et derrière ça, un concept que j’aimerais développer plus.

Il s’agit de l’association petits pois/carottes/citron.*tinniiiin*

Cette tourte est faite de deux pâtes brisées et d’un appareil d’oeufs, de crème, d’une grosse boite de petits pois et carottes, du zeste d’un quart de citron,d’une tranche de jambon et de diverses épices du genre poivre. J’ai mis une feuille de laurier au fond mais elle est oubliable, n’ayant rien transmis du tout, la gustoradine.

Elle peut sûrement servir de base à une opération « restes », mais telle quelle, elle s’en est très bien sortie =3 (manque peut-être d’un peu de jambon, me souffle mon compagnon).

Oh, et la photo montre une assiette ayant déjà subie les outrages du repas, elle est toute sale, mais elle a vécu, j’assume.