Le retour du gratin de folie (épisode nostalgie)

Je fouinais paisiblement dans mon appareil photo quand plusieurs d’entre elles m’aperçurent, se jetèrent à mes pieds en pleurant « Tu m’as pas mis, dis ! Tu m’as pas publiée ! Moi j’étais un chouette bento ! Et moi, moi, moi tu as parlé de moi mais on m’a jamais vu ! Et moi, et-« . J’ai refermé vite fait l’appareil. Et repris mon souffle.

Diantre. De « vieilles » images, illustrant un passé déjà loin derrière nous. Le fonctionnement en timeline du blog est terrible : on peut éventuellement éditer de vieux articles (hint, hint), mais il faut une raison valable pour poster des photos oubliées.

Je crois que le fait de retrouver des photos du gratin de foliiiiie en est une.

« Viens plus près. »

« Plus près. »

« Bien. Très bien. Très- hé, veux-tu lâcher cette fourchette. « 

Oui, le gratin de folie parle. Et fort bien. Il était fort bon. Courge, pommes de terre, fanes de radis, jambon et fromage. Yihaa.

La prochaine fois, je mettrais divers bentos qui furent dévorés sans laisser de trace. Littéralement.

Bento du lundi : gratin de foliiie et boîte *hou*

La boîte *hou*, c’est ma nouvelle boîte à bento. Ya un hibou dessus (d’où son surnom). Et deux pleines lunes. Enfin non, une seule, l’autre c’est juste du décor. Et je l’aime. *o*

Hier, nous avons dévoré un gratin de courge (non identifiée), de pommes de terre, de jambon, et de fanes de radis. Et un oignon. Oui, promis, j’arrête de faire des minis phrases. ‘Fin bon, c’est mieux que des parenthèses à foison. Non ?

Il en restait assez pour remplir l’étage inférieur du hibou, ce que j’ai donc joyeusement fait, en rajoutant de l’emmental à faire fondre – et non gratiner =( – extemporanément.

Ensuite, en haut, un peu de salade, une poire citronnée, et une famille de gnougnous. Sisi, celui à droite est un gnougnougnon, il est plus petit que les autres. Notons au passage que le père, devant, est un vétéran, et a perdu une oreille à la guerre.

Bento du lundi, gratin, salade, poire et nounours