Tourte PPCC

Sous cet acronyme disgracieux à dire vrai se cache une tourte qui a été fortement appréciée par ma famille la veille du 24 décembre (oui, je mets du temps à poster), et derrière ça, un concept que j’aimerais développer plus.

Il s’agit de l’association petits pois/carottes/citron.*tinniiiin*

Cette tourte est faite de deux pâtes brisées et d’un appareil d’oeufs, de crème, d’une grosse boite de petits pois et carottes, du zeste d’un quart de citron,d’une tranche de jambon et de diverses épices du genre poivre. J’ai mis une feuille de laurier au fond mais elle est oubliable, n’ayant rien transmis du tout, la gustoradine.

Elle peut sûrement servir de base à une opération « restes », mais telle quelle, elle s’en est très bien sortie =3 (manque peut-être d’un peu de jambon, me souffle mon compagnon).

Oh, et la photo montre une assiette ayant déjà subie les outrages du repas, elle est toute sale, mais elle a vécu, j’assume.

Oh, by ze way

J’ai goûté tomates séchées et noix de pécan (merci mon Aimé :3).

Beh c’est dommage, en fait. La tomate séchée a un goût tellement puissant qu’elle phagocyte complètement les saveurs subtiles de la noix de pécan. Il faudra retenter avec un plus petit bout (j’avais mis ensemble une demi-tomate et une demi-noix), mais je crains que ça ne change guère…

Faire cuire le riz sur une plaque électrique

Il y a des années, j’ai appris de mon père une manière de cuire le riz, atypique à l’époque  – je n’ai depuis rencontré que deux  personnes qui utilisaient cette technique –  mais qui rappellera aux possesseurs de cuiseur à riz leur méthode, excepté qu’elle se fait sans cuiseur à riz =D Cette recette est très simple : laver le riz à l’eau claire (étape que je zappe de plus en plus, la flemme, et le fait que j’aime le riz collant, aidant), puis le mettre dans une casserole et ajouter 1,5 volume d’eau froide pour 1 volume de riz. Saler, placer sur feu fort. Lorsque le riz bout, très vite baisser le feu, le mettre très doux, intercaler un diffuseur de chaleur si vous avez. Laisser cuire une vingtaine de minutes, jusqu’à ce que le riz ait absorbé toute l’eau.

Cependant cette méthode devient plus délicate sur plaque électrique : en effet, les plaques électriques mettent du temps à chauffer, ainsi qu’à refroidir. Donc le riz cuit trop fort plus longtemps si on se contente de baisser la température de la plaque sur laquelle est la casserole.

Donc actuellement je change carrément la casserole de plaque, afin que la cuisson douce le soit vraiment. Cette tactique a l’inconvénient de perdre la chaleur de la première plaque, puisque même en l’éteignant elle continuera à diffuser… et je n’ai pas encore atteint la maîtrise de la cuisson au point de savoir quand éteindre le feu sous le riz en passe de parvenir à l’ébullition.

Je travaille désormais à une nouvelle méthode, pas encore totalement au point : enlever complètement du feu quand le riz atteint l’ébullition, et laisser la chaleur résiduelle du système fermé de la casserole cuire le riz. C’est plus long mais on n’utilise qu’une seule plaque. Et pendant ce temps, la plaque éteinte continue de dilapider son énergie. Pas encore au point, je vous dis.