No-sushi de grison

Je l’ai déjà dit, je suis incapable de me faire un repas simple (sauf si j’ai des pâtes et une sauce toute prête qui me tend ses menottes, genre tomate-aubergine), et donc j’étais partie pour faire du riz. Et pis j’y ai mis deux feuilles de laurier comme d’habitude, et pis tiens j’ai encore du céleri, tchac tchac tchac, et du poireau, tchuc tchuc tchuc, oh et pis un bulbe d’oignon nouveau, tchic snif snif. Servi sur des tranches de viande des grisons *o* , mais pas réussi à enrouler la viande autour, beh tant pis, on présente comme à Top Chef, avec des copeaux de tomme de Savoie et des raisins secs.

Ingrédients

pour une personne

  •     du riz
  •     2 feuilles de laurier
  •     2 branches de céleri
  •     un morceau de poireau, à peu près un quart, dans le vert
  •     le blanc d’un oignon nouveau
  •     4 tranches de viande des grisons
  •     un peu de tomme de Savoie
  •     des raisins secs

Modus operandi

Couper tous les légumes. Mettre dans un faitout le riz et de l’eau froide à raison d’un volume et demi d’eau pour un de riz, sur feu fort. Quand l’eau bout, baisser fortement le feu – dans le cas de plaques électriques, changer éventuellement le plat de plaque -, et ajouter les légumes. Si vous faites ainsi, mélanger votre faitout. Ne plus jamais remuer, ni soulever le couvercle de la casserole ! Mais en fait vous pouvez quand même un peu, pour vérifier l’état de cuisson, hein. Parce que la divination ça ne s’apprend pas comme ça. Quand le riz est cuit, disposer sur une assiette les fines tranches de viande des grisons en les superposant à moitié, placer le riz dessus, puis quelques copeaux de fromage, et pour finir, les raisins secs.

Ça a l’air peu copieux, très grande cûûûisine, mais en fait non, ça cale bien, et les saveurs se mélangent joyeusement. Peut-être qu’un peu plus de fromage, et le-dit fromage mélangé au riz avant de servir pour qu’il fonde un peu, aurait été profitable…

Bento du jeudi, faux bourguignon et framboises encore

Avec mon Amoureux on s’était acheté un paquet de morceaux de bœuf qui avaient l’air sympa, et on avait envie de cuisiner au vin rouge. Juste une envie comme ça. Une première, parce que si on avait déjà goûté, on n’avait jamais fait, la cuisine au vin.

Donc notre choix s’est porté sur la confection d’un bourguignon. Et puis les choses en entraînant d’autres, joint à refaire dans la cuisine depuis deux jours = plan de travail pas vraiment dispo, bœuf commençant à approcher sa date limite = pas le temps de faire la marinade, grosse faim tout d’un coup = on droppe les deux heures de cuisson…

Au final, une viande cuite dans du vin rouge avec plein de ptits légumes (céleri, quignon de navet, tomate), plein d’aromates (laurier, thym, romarin),  pas extraordinaire parce que trop cuite pour un steak et trop peu pour un bourguignon, un peu dure mais bonne. Accompagnée de ses légumes, sa sauce un peu trop liquide au Pinot noir, sur de la semoule, cela nous a fait un bon repas.

Et il restait un morceau de viande à la fin, que j’ai émincé sans pitié et mis dans ma boite, avec le reste de semoule et des légumes.

A côté de ça, j’ai continué dans les framboises (achat coup de cœur d’un paquet surgelé, hallucinant comme 750g de framboises ça tient longtemps – je m’étonne moi-même), sur un lit de biscuits, fromage blanc, et fruits secs, avec des bouts d’ananas.

Noix de cajouuuuuu ! *o*