Pop-corn au sirop d’agave et cannelle

Alors, le pop-corn, voyez-vous, c’est très simple à faire.

Ingrédients :

  • maïs spécial pop-corn (aha)
  • huile (huhu)

Modus operandi :

Mettre dans une grande casserole (je déconne pas, faut quelque chose de grand, le volume de chaque grain de maïs est presque trente fois supérieur une fois cuit) de l’huile, juste de quoi couvrir le fond, et du maïs, juste une épaisseur. Poser un couvercle sur la casserole (!important), et lancer à feu fort.

Quand la fréquence des *pop* diminue, remuer un peu la casserole, jusqu’à ne plus en entendre, ou presque. Ne pas tenter le diable, quelques grains pas cuits valent mieux qu’un fond cramé.

Transvaser dans une jatte ou un saladier ou un chien (mais perso je n’ai pas de chien, et je préfère manger moi-même mes plats ;) ). Sucrer, saler, parfumer, as you wish.

Pour cette fois, j’ai utilisé du sirop d’agave pour sucrer, et de la cannelle. La totalité a été dévorée en jouant, moi à Okami Den, mon Amoureux à Red Dead Redemption. A la cuillère, paske sinon on s’en met plein les doigts et par extension les manettes.

All will be nomed

De temps en temps, avec mon Amoureux, j’initie un collègue du boulot à Magic: the Gathering, un jeu de cartes à collectionner kilébien. Nous nous retrouvons donc chez l’un ou chez l’autre pour passer l’après-midi à profiter du soleil jouer à « on dirait qu’on serait des magiciens superpuissants et qu’on lancerait des sorts pour se maraver la tronche en toute amitié ». Celui qui invite prépare le repas, celui qui vient apporte le dessert.

Dans quelques jours sort une nouvelle extension de MtG (oué, c’est son petit nom), appelée « New Phyrexia », et j’avais envie de célébrer ça. Comme c’est moi qui étais en charge du sucré, j’ai préparé mon fondant au chocolat sans oeufs habituel (petite variation dans le thème de l’urgence : je n’avais plus de lait, et ai donc utilisé de l’eau. Beh c’est pas concluant, c’était… bien mais pas top, quoi.), décoré du symbole de Phyrexia =3

Le décor est fait de chocolat fondu : un peu moins d’une demi-tablette de chocolat noir en carreaux et un peu de crème, passés quelques secondes au micro-ondes puis bien remués. Je me suis amusée avec la seringue de cuisine achetée sur un coup de tête il y a quelques semaines (ouiii mais c’était pas cher, alors, heu, bon, heum).

(pour les lecteurs non-Magiciens, « All will be one » est la devise de Phyrexia telle que présentée dans les dernières extensions)

Cake à la banane

Reprenant la recette du quart-quart à la banane que je postais aux débuts de ce blog, j’ai fait de petits gâteaux, qui se sont avérés ressembler plus à des petits pains à la banane, et en fait ils sont bien meilleurs comme ça ! Peu sucrés, moelleux, croustillants sur les bords… fonce en reprendre

  • 4 oeufs
  • 200g de farine
  • 100g de sucre (deux fois moins que la recette originelle)
  • 100g de beurre ramolli
  • sel
  • cannelle
  • muscade
  • 1/2 yaourt (en relisant la recette j’ai vu qu’il y en avait deux, c’est un oubli, pas une variante volontaire)
  • 3 bananes très mûres

Faire cuire, heum, un certain temps dans un four préchauffé à 180°C.

Cakes aux poires et marshallows

Mon Amoureux ayant acheté il y a quelques temps des mini-marshmallows, nous nous faisons des orgies de chocolat chaud, puisque ces douceurs sont conçues pour. Mais il est toujours intéressant d’utiliser les choses autrement que ce pour quoi elles sont faites, nous autres cuisiniers amateurs en savons quelque chose :3 L’idée c’était de mettre les marshmallows dans des gâteaux. La recette de base, c’est un quart-quart largement modifié, avec moitié moins de sucre et moitié moins de beurre (je pense avoir atteint par là une autre recette de gâteau, mais impossible de mettre un nom dessus).

  • 3 œufs
  • 200g de farine
  • 100g de beurre
  • 100g de sucre
  • 1 yaourt

Ensuite, j’ai rempli à moitié de petits moules en silicone, et posé sur la pâte un huitième de poire en petits morceaux ainsi qu’une demi-douzaine de mini-marshallows.

Puis j’ai recouvert du reste de pâte.

Et enfourné pour un temps indéterminé : j’ai juste vérifié la cuisson de temps en temps.

Le résultat ? Des gâteaux extrêmement tendres, très clairs, un peu denses, donc parfaits pour un thé – et pis comme ça on n’en mange qu’un, me dit mon Amoureux. En revanche, à noter que les marshmallows ne se sentent absolument pas, et qu’ils ont même eu tendance à s’évaporer, laissant des trous carrés dans la pâte, comme un gruyère hipster (« Rounded holes ? Soooo mainstream. »).

Biscuits aux épices

Chez moi, nous avons affiché des listes de désirs : des choses qu’on voudrait avoir, faire, vivre… Histoire de s’en souvenir :3 Pour ma part j’avais noté  « Faire des biscuits. Plein. Souvent. Souhait permanent. » C’est donc ce que j’ai fait ce week-end.

Donc c’est une recette fort simple : du sucre, de la farine, du beurre, des oeufs. Et ce qu’on veut dedans ensuite. Personnellement c’était cannelle, gingembre et muscade ; je trouve que ces trois épices s’en sortent bien ensemble, elles se complètent bien, sans se bouffer le nez.

Faut un peu d’huile de coude, et un peu de temps si on a un four petit comme le mien (ah ça, les gratins dans la mégaterrine, il gère, mais j’ai dû faire 6 fournées de biscuits pour finir ma pâte)(et oui, j’ai conscience que ma phrase n’est pas très claire)(j’ai un plat à terrine où on ferait cuire un faon, c’est pour ça)(non, j’ai pas dit que je mangeais des faons) et des milliers de mini-biscuits à cuire.

Ingrédients

  • 200g de sucre
  • 500 g de farine
  • 250g de beurre (j’ai pris du demi-sel)
  • 4 oeufs
  • épices

Modus operandi

Faire préchauffer le four à 180°C. Battre les œufs dans une jatte. Ajouter le sucre, et bien fouetter pour faire blanchir l’appareil. Ajouter la farine, bien mélanger – et là ça commence à devenir un peu moins facile. Couper le beurre en petits morceaux et l’incorporer dans la pâte – et là on se dit qu’on devrait expérimenter un autre ordre, ou faire fondre le beurre, parce que *gnnnn* c’est *gnnfff* pas fluide du tout ce *fff* truc. Et que le beurre n’est pas forcément bien intégré comme ça.

Prendre un bout de la pâte, et l’étaler sur un plan de travail fariné (Mercotte fait ça entre deux feuilles guitare, moi je veux bien, j’attends juste d’avoir le budget), et jouer avec votre emporte-pièces préféré. Pour ma part c’était un emporte-pièces en forme de fleur/étoile, dans un lot de 4 acheté sur un site de bentobox. Poser les biscrus (bah oué, ‘sont pas cuits à ce stade) sur une feuille de papier sulfurisé sur une plaque, et hop, à la chauffe pendant 10 minutes. Je suis rarement précise dans mes temps de cuisson, j’ai tendance à dire « bah tu laisses cuire jusqu’à ce que ce soit cuit », mais là non, vigilance, attention. Il faut être là à 9 minutes pour tester la cuisson, parce qu’à partir de ce temps ça cuit très vite : et des mini-biscuits trop cuits, c’est bien mais pas top. Une fois sortis du four, balancer les bestiaux sur une assiette ou une grille, et laisser refroidir pendant que vous enfournez le paquet suivant.

Avec deux graines de cumin, pour faire style. Sans rire, vu la quantité d'étoiles, j'avais l'impression de jouer à Super Mario Galaxy.

J’ai apporté deux tiers de ces biscuits au boulot, ils sont partis dans la journée (on est une douzaine). Super contente qu’ils aient autant plu, mais maintenant tous les matins on me dit « ah au fait, ya plus de biscuits » d’un air entendu.

Chips de bananes enrobées de chocolat

En termes d’ingrédients, c’est une recette de feignasses : des chips de bananes achetées (!) et deux plaques de chocolat noir.

En termes de réalisation, un poil moins quand même : faire fondre le chocolat c’est facile, mais faut pas le laisser brûler, surtout ne rien rajouter, pas une goutte d’eau, pour que ça reste bien lisse (oui, je n’ai pas de sonde thermique pour bien tempérer ma ganache ekcétéra). Et puis ensuite, on trempouille les chips dans le chocolat fondu, en s’en mettant plein les doigts youpi, on les tapote sur le bord de la casserole pour en faire tomber l’excédent, et on pose sur du papier sulfurisé. Et on attend que le chocolat redurcisse.

En cours de séchage
Les chips bien rangées dans leur boîte. Si si, il y en a le même nombre que tout à l'heure. Presque.

Charlotte aux framboises express

Préambule : les framboises c’est bon. Mangez-en. Faites-en des tartes, des gâteaux, des glaces, mettez-les dans votre jus d’orange, ou dans une charlotte faisable même par un gaucher à deux mains droites qui refuserait de faire la cuisine parce que « c’est compliqué ça prend du temps et je préfère manger des burgers » (là je dis « ok pour le burger à la framboise, challenge accepted mais une autre fois »). Fin du préambule.

A la base, je voulais juste dire « les framboises c’est bon », et m’arrêter là, mais mon clavier m’a prise en otage. Le salaud. SOS geeke battue.

  • un sachet de framboises surgelées (j’avais pris 750g, je n’en ai utilisé que la moitié)
  • du fromage blanc (la moitié d’un gros pot)
  • des boudoirs (le paquet de 30 entier, si si)
  • un peu de miel
  • du sirop de cassis

Préparer un moule. Idéalement, à charlotte, moi j’avais juste à cake, ça marche moins bien mais quand même. Sortir tous les ingrédients.

Dans un verre, mêler du sirop et de l’eau, comme pour en boire. Donc, pas trop de sirop, hein. Le verser dans une assiette creuse.

Ouvrir tous les sachets de boudoirs – j’insiste sur ce point, je vous explique après la raison.

Tremper rapidement un boudoir dans le sirop, dessus dessous, et le placer au fond du moule dans un coin. Recommencer pour tapisser le fond, et les côtés du moule. Je recommande de casser le boudoir s’il est trop long avant de le mouiller. C’est là qu’avoir ouvert tous les sachets s’avère une bonne idée, parce qu’on a les doigts pleins de sirop, ça colle, c’est galère s’il faut les laver pour chopper les ciseaux etc. Parce que l’idéal est d’aller vite, les boudoirs s’imbibant du liquide ramollissent, et ça serait bien que tous les biscuits aient une mollitude semblable.

Ensuite, mettre une couche de fromage blanc au fond. Puis du miel liquide, jeté nonchalamment du bout d’une cuillère, la quantité qui vous plaira. Puis des framboises, plein, encore toutes froides, croquantes, qu’on enfoncera doucement dans le fromage blanc. Et on remet du fromage blanc, et du miel, puis des biscuits imbibés. Moi je me suis arrêtée là car mon moule était plein, mais suivant la hauteur vous pouvez faire d’autres couches ; dans ce cas je conseille de mettre moins de fromage blanc.

Et placer au congélateur le temps du repas. Personnellement j’ai fait le dessert pendant que l’Amoureux préparait la viande des fajitas – c’est dire si c’est rapide, le bœuf haché ça cuit vite.

 

Le matin du nouvel an

Au matin du 1er janvier…

Hier nous avions prévu un fantastique repas, gargantuesque et gastronomique. Nous ne l’avons pas fini. La faute aux chips trempées dans du guacamole en apéritif (un paquet pour deux) ? Aux bonnes tranches de foie gras sur brioche (un « 8 parts » pour deux) ? Toujours est-il que si mon compagnon a eu suffisamment de ventre pour manger le saumon mi-cuit qui suivait, moi pas. Désespoir en ma chair et mes papilles. Et malgré l’heure peu avancée, la fatigue et la satiété aidant, nous somme allés nous coucher. Dessert pour personne. Là.

Donc, au matin du 1er janvier, disais-je, avant d’être grossièrement interrompue par moi-même (merci Maître Pierre de me laisser chiper vos bons mots), enfin, le matin, il était 11h30. Donc. Je me suis fait mi-cuire le saumon – et nom de nom, c’est succulent, la chair du poisson à peine cuite, presque froide sur le dessus, tendre, pulpeuse, *rrrrr*-pardon je m’égare, et celle un peu plus ferme, juste au-dessus de la peau carrément grillée. Le saumon, à n’importe quel degré de cuisson, de toute façon, c’est jouissif.

Et après, le dessert.

Un petit fondant au chocolat (la recette suit), un macaron (tirée d’une boîte offerte par mon patron hier, puisque j’avais malencontreusement vendu la mèche comme quoi c’était mon anniversaire, merci patron =3 ), une chips de banane cachée dans un abricot sec (pas la meilleure des idées mais c’était bon), et une pseudo-verrine de crème anglaise qui cachait une cuillerée de pâte de spéculoos et une de compote de rhubarbe. Bah c’était trop bon. L’association de goûts dans la pseudo-verrine était parfaite quoique complètement improvisée, à refaire !

Alors, le fondant au chocolat.

Je vous mets la recette originelle de Tiuscha, avec mes annotations en italique.

  • 420 ml de “lait” d’amandes (ça marche aussi avec du lait de vache)
  • 100 grammes de chocolat
  • 170 grammes de sucre blond de canne
  • 70 grammes d’huile de colza (j’ai mis de l’huile de tournesol)
  • 100g grammes de compote de pommes sans sucre ajouté
  • 30 grammes de fécule de maïs
  • 1,5 cuillère à café d’extrait naturel de vanille (je n’ai jamais mis, car jamais eu ^^’)
  • 140 grammes de farine de blé
  • 150 grammes de farine de petit épeautre (n’ayant pas de petit-épeautre, j’ai utilisé 290 g de farine de froment)
  • 2,5 cuillère à café (l’équivalent d’un sachet) de poudre à lever

Dans une casserole, faire chauffer le “lait” d’amandes à feu doux et y laisser fondre doucement le chocolat. Laisser tiédir.

Dans un grand bol, bien mélanger le sucre, l’huile, la compote, la fécule de maïs et l’extrait de vanille jusqu’à ce que sucre et fécule soient bien dissous. Ajouter ensuite le mélange lait d’amandes-chocolat fondu tiédi. Tamiser au-dessus du bol les farines et la poudre à lever. Mélanger.

Verser dans des empreintes en silicone et enfourner pour 20 minutes à 180°C.

Pour ce qui est du temps de cuisson, je n’ai jamais vraiment mesuré, faisant le test du couteau, mais les tout petits comme celui présenté sur la photo mettent une dizaine de minutes à cuire. Comme c’est un fondant, il vaut mieux que le couteau ne ressorte pas complètement sec.

Tiramisu au lemon curd

J’emprunte honteusement cette recette à Anaïk, sur son blog Le confit c’est pas gras, telle quelle, car dûment testée et plébiscitée. Il me suffit parfois de dire « tir- » et déjà des yeux brillent autour de moi. Je frime, je sais.

Ingrédients

Le gâteau :

  • 3 ou 4 œufs selon leur taille
  • 50 g de sucre roux (100 g dans la recette originale)
  • 250 g de mascarpone
  • 24 biscuits à la cuillère (davantage s’ils sont petits)
  • 4 citrons non traités
  • 15 g de sucre en poudre (30 g dans la recette originale)
  • 10 cl de limoncello (mais n’aimant pas l’alcool, je n’en mets pas)

Le lemon curd :

  • 4 citrons non traités
  • 150 g de sucre
  • 3 oeufs
  • 1 cuillère à soupe de Maïzena
  • 20 g de beurre

Modus operandi

Préparation du lemon curd :

Laver les citrons. En zester 2 et presser les 4. Mettre les zestes et le jus dans une casserole, ajouter le sucre et la Maïzena. Remuer et commencer à faire chauffer à feux doux.

Battre les œufs dans un récipient séparé puis les incorporer, tout en remuant, dans le mélange jus de citron / sucre / maïzena / zestes. Mettre à feu fort et continuer à remuer à l’aide d’un fouet. Le mélange va commencer à s’épaissir. Une fois la bonne consistance obtenue, ajouter le beurre et remuer pour le faire fondre. Attention : toujours remuer lorsque les œufs sont ajoutés, le lemon curd brûle très vite. D’ailleurs, je conseille plutôt une cuisson au bain-marie, toujours en fouettant : c’est plus long, mais plus sûr. Laisser refroidir et conserver au réfrigérateur.

Préparation du tiramisu :

Séparer les blancs des jaunes d’œufs. Mélanger les jaunes avec le sucre roux. Ajouter le mascarpone au fouet, puis le jus de 2 citrons. Fouetter longuement afin de rendre la préparation homogène. Monter les blancs en neige et les incorporer délicatement à la spatule au mélange précédent. Presser les 2 autres citrons, y ajouter les 30 g de sucre et le limoncello (si on en a, et si on aime). Mouiller les biscuits dans ce jus. Tapisser le fond du moule avec les biscuits humidifiés. Les recouvrir avec la moitié du lemon curd. Recouvrir d’une couche de crème, œuf, sucre, mascarpone. Refaire une couche de biscuits humidifiés, puis une couche de lemon curd. Terminer par une couche de crème au mascarpone. Mettre au réfrigérateur 12 heures minimum.

Faire cuire le riz sur une plaque électrique

Il y a des années, j’ai appris de mon père une manière de cuire le riz, atypique à l’époque  – je n’ai depuis rencontré que deux  personnes qui utilisaient cette technique –  mais qui rappellera aux possesseurs de cuiseur à riz leur méthode, excepté qu’elle se fait sans cuiseur à riz =D Cette recette est très simple : laver le riz à l’eau claire (étape que je zappe de plus en plus, la flemme, et le fait que j’aime le riz collant, aidant), puis le mettre dans une casserole et ajouter 1,5 volume d’eau froide pour 1 volume de riz. Saler, placer sur feu fort. Lorsque le riz bout, très vite baisser le feu, le mettre très doux, intercaler un diffuseur de chaleur si vous avez. Laisser cuire une vingtaine de minutes, jusqu’à ce que le riz ait absorbé toute l’eau.

Cependant cette méthode devient plus délicate sur plaque électrique : en effet, les plaques électriques mettent du temps à chauffer, ainsi qu’à refroidir. Donc le riz cuit trop fort plus longtemps si on se contente de baisser la température de la plaque sur laquelle est la casserole.

Donc actuellement je change carrément la casserole de plaque, afin que la cuisson douce le soit vraiment. Cette tactique a l’inconvénient de perdre la chaleur de la première plaque, puisque même en l’éteignant elle continuera à diffuser… et je n’ai pas encore atteint la maîtrise de la cuisson au point de savoir quand éteindre le feu sous le riz en passe de parvenir à l’ébullition.

Je travaille désormais à une nouvelle méthode, pas encore totalement au point : enlever complètement du feu quand le riz atteint l’ébullition, et laisser la chaleur résiduelle du système fermé de la casserole cuire le riz. C’est plus long mais on n’utilise qu’une seule plaque. Et pendant ce temps, la plaque éteinte continue de dilapider son énergie. Pas encore au point, je vous dis.