Bento du jeudi, surimi, gnougnous et chute

Une chose à savoir sur les boîtes à bento, c’est qu’elles sont maintenues fermées par un élastique tissé, assez large, le couvercle étant souvent juste à la bonne taille ou bien légèrement supérieur aux étages. Et une astuce : ne jamais tenir une boîte à bento par son élastique.

Sinon, la boîte glisse joyeusement hors de l’élastique. Et là, c’est le drame. Le drâââme.

La boîte n’a rien, elle n’a chu que de cinq centimètres de hauteur. Le riz, lui, s’est bien marré (« Ouéééé ! Libertéééé ! »), entraînant dans sa revolucìon des ptits pois carottes bien sages ; et les nounours en guimauve ont sympathisé avec le surimi (deux remarques sur ce sujet à ma tablée, merci les gars =D).

Boite à bento du jeudi 18 novembre 2010, riz, petits pois et carottes, surimi et saucisses, pommes, nounours en guimauve

Photo prise le matin, avant le drâââme, donc.

En bas, riz, petits pois et carottes (conserve), demi-fleurs de comté.

En haut, surimi, une saucisse, une demi-tomate séchée (*o*), une demi-pomme, une coupe contenant deux nounours, quelques fruits séchés (les derniers…), et des petits pois enrobés de wasabi.

Une petite boîte emplie de mayonnaise et moutarde, pour tremper le surimi.

Et sur la droite, mes couverts en kit, récente acquisition tout droit venue du Japon – avec une nouvelle boîte à bento, qui a déjà servi depuis son arrivée mais j’ai oublié de photographier.